Avez-vous remarqué que les assistants virtuels se prénomment Alexa (Google), Siri (Apple) ou Cortana (Microsoft) ? Et que la version initiale de Siri répondait « I’d blush if I could » (« je rougirais si je le pouvais ») quand la question ne pouvait être interprétée. Connaissez-vous Eliza ? Une pionnière, l’IA ancêtre des agents conversationnels ou chatbots capable de « dialoguer » avec les humains dès 1964. Avez-vous entendu parler de Sophia de Hanson Robotics, annoncée comme l’humanoïde la plus avancée et réputée figurer le futur de l’IA ? Dotée d’un visage (quasi) humain, elle est invitée sur les plateaux de télé pour partager son quotidien, et a même été faite citoyenne d’Arabie saoudite.  Alors que dans l’industrie et dans l’armée les robots portent plutôt des noms masculins (Syrano, Barakuda), les IA de type « assistant personnel », comme les GPS, parées d’attributs féminins, rendent service, sont à l’écoute, répondent poliment. Y aurait-il un lien entre ces représentations stéréotypées et le manque d’égalité aujourd’hui dans le secteur de l’IA ?  De nombreux acteurs se penchent sur la question de l’égalité femmes-hommes dans le numérique, par exemple l’Assemblée Nationale, la Commission Européenne ou l’UNESCO. C’est également une préoccupation forte des Instituts interdisciplinaires de l’intelligence artificielle créés en 2019, qui ont notamment organisé une table ronde commune le 8 mars 2021 afin de sensibiliser les communautés de l’IA (universitaires et industriels) à ces questions, en dressant un état des lieux des inégalités femmes-hommes et un panorama des initiatives menées au sein de ces instituts interdisciplinaires.

Pourquoi est-il important d’avoir une égalité femmes-hommes dans le monde de l’IA ?

Avez-vous remarqué que les assistants virtuels se prénomment Alexa (Google), Siri (Apple) ou Cortana (Microsoft) ? Et que la version initiale de Siri répondait « I’d blush if I could » (« je rougirais si je le pouvais ») quand la question ne pouvait être interprétée. Connaissez-vous Eliza ? Une pionnière, l’IA ancêtre des agents conversationnels ou chatbots capable de « dialoguer » avec les humains dès 1964. Avez-vous entendu parler de Sophia de Hanson Robotics, annoncée comme l’humanoïde la plus avancée et réputée figurer le futur de l’IA ? Dotée d’un visage (quasi) humain, elle est invitée sur les plateaux de télé pour partager son quotidien, et a même été faite citoyenne d’Arabie saoudite.

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On a parfois tendance à les considérer comme le Saint Graal de la quête professionnelle. Les responsabilités seraient ainsi indissociables de l’ambition dans le monde du travail. Peut-on trouver sa place en entreprise sans chercher à en obtenir, voire en les fuyant ?

Faut-il chercher à avoir plus de responsabilités au travail ?

On a parfois tendance à les considérer comme le Saint Graal de la quête professionnelle. Les responsabilités seraient ainsi indissociables de l’ambition dans le monde du travail. Peut-on trouver sa place en entreprise sans chercher à en obtenir, voire en les fuyant ?

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